19 avril 2009

Fritillary of the Queen

J'avais aussi comme titre : Les fritillaires et ma mère, mais ça faisait pas assez english...

C'était donc bien les fritillaires qu'il fallait voir sur la dernière photo du dernier message... Mais vous avez pu aussi remarquer la bâtisse derrière... C'est une partie de Magdalen College. Je vous raconterai plus tard ce que j'ai compris sur les College d'Oxford, c'est pas de la tarte !

On est donc allés visiter Magdalen College, parce qu'on nous avait dit qu'il y avait un super parc (c'est vrai) avec des biches (vrai aussi) et plein de fleurs (encore vrai). Sauf qu'on pensait pas du tout tomber sur une station de fritillaires sauvages ! En plein cœur d'Oxford, à deux pas de High Streer ! Splendid ! C'est vrai, c'était très beau.

Sauf que pour ma mère ça a été trop ! Elle est devenue complètement folle, elle s'est mise à crier, et à sauter, ça faisait un peu bizarre dans ce décor et au milieu des anglais bien sages... Et puis elle s'est mise à mitrailler !

J'ai toujours pas compris pourquoi les fritillaires lui ont fait cet effet, pourtant j'ai essayé !
J'ai touché, bof, c'est de la fleur quoi ! ça bouge même pas !

J'ai écouté, peut-être que c'est une fleur spéciale qui fait du bruit ?
Même pas...
J'ai pas goûté, les fleurs, faut s'en méfier, y'en a c'est du poison (c'est papi Olive qui me l'a dit, il connait lui aussi les fritillaires !)

Alors j'ai laissé ma mère mitrailler...
Y'a des choses qu'on peut pas toujours expliquer...

Dans le prochain message du reportage in England, je vous parlerai encore d'un truc de tarés, mais plus spécifique à Oxford. Vous devinez ce que c'est ?

See you, Basil.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'ai trouvé le point commun entre une fritillaire et Basile : la couleur violette du sweat et de la fleur !

claranonyme a dit…

les fritillaires me font frétiller aussi, j'en ai acheté 2, in England, il y a 3 semaines, 1 couleur sweat de Basile et 1 blanche, elles étaient très belles, elles ont beaucoup souffert pendant le trajet.
Le nom latin sur l'étiquette était bien le nom donné par l'anonyme-botaniste, je ne sais pas quelles sont nos chances de les voir fleurir et se propager l'année prochaine...
tu sais élise ?